C’est le nouvel outil à la mode sur internet : le réseau « facebook » connaît un boom comme seules les nouvelles technologies sont capables d’en générer. Le principe est simple : mettre en relation des individus par le biais de leur centre d’intérêt ou de leurs parcours professionnels. Facebook repose sur le concept « d’amis » que vous autorisez (ou pas) à lire votre profil et partager vos informations. Personnellement je ne suis pas sûr d’avoir compris toutes les subtilités de l’outil, mais c’est très convivial, cela permet le partage de photos et de vidéos avec vos amis et c’est suffisamment bien construit pour qu’on y passe quelques heures sans voir le temps s’écouler.
Les hommes politiques ont compris l’intérêt de la chose. Etre sur facebook s’est mettre le pied dans un réseau où l’on peut faire passer ses infos, et surtout profiter d’une image techno, jeune et dynamique.
Sans surprise Elio Di Rupo a donc une présence militante sur Facebook et compte 277 amis à son actif.
Jean Michel Javaux, ecolo, 156 amis, affirme que l’outil est "passionnant".
Didier Reynders, sa vraie fiche est ici, compte 10 amis dont son frère et sa sœur. Joëlle Milquet n’a pas encore investi ce territoire (« toute modernité n’est pas toujours bonne à prendre » m’a répondu son porte parole visiblement peu intéressé par la chose). Plus amusant : les amitiés des uns et des autres. On notera que jean Michel Javaux est l’ami d’Anne-Marie Lizin. En revanche Elio et Didier, sur facebook, ne se sont pas rencontrés.
Coté flamand, un belle page pour Guy Verhofstadt, en revanche les profils d’Yves Leterme que j’ai trouvé ne semblent pas émaner de l’ex-formateur (glissons qu’il a peut être plus de temps pour jouer du clavier maintenant).
C’est un peu le problème et la limite de l’outil : sur Facebook on n’est pas toujours certain de l’identité de son interlocuteur. Un conseiller du ministre des finances m’indiquait la semaine dernière qu’il avait repéré 3 faux Didier Reynders. Cela peut être ludique, mais aussi dangereux. Méfiez vous donc des imitations.
Les hommes politiques ont compris l’intérêt de la chose. Etre sur facebook s’est mettre le pied dans un réseau où l’on peut faire passer ses infos, et surtout profiter d’une image techno, jeune et dynamique.
Sans surprise Elio Di Rupo a donc une présence militante sur Facebook et compte 277 amis à son actif.
Jean Michel Javaux, ecolo, 156 amis, affirme que l’outil est "passionnant".
Didier Reynders, sa vraie fiche est ici, compte 10 amis dont son frère et sa sœur. Joëlle Milquet n’a pas encore investi ce territoire (« toute modernité n’est pas toujours bonne à prendre » m’a répondu son porte parole visiblement peu intéressé par la chose). Plus amusant : les amitiés des uns et des autres. On notera que jean Michel Javaux est l’ami d’Anne-Marie Lizin. En revanche Elio et Didier, sur facebook, ne se sont pas rencontrés.
Coté flamand, un belle page pour Guy Verhofstadt, en revanche les profils d’Yves Leterme que j’ai trouvé ne semblent pas émaner de l’ex-formateur (glissons qu’il a peut être plus de temps pour jouer du clavier maintenant).
C’est un peu le problème et la limite de l’outil : sur Facebook on n’est pas toujours certain de l’identité de son interlocuteur. Un conseiller du ministre des finances m’indiquait la semaine dernière qu’il avait repéré 3 faux Didier Reynders. Cela peut être ludique, mais aussi dangereux. Méfiez vous donc des imitations.
4 commentaires:
Avant de vous inscrire à Facebook (ou à tout outil "social" similaire ) Posez-vous la question: à qui profite le crime?
Je ne sais plus quel artiste numérique a observé que la tendance était à une transparence de plus en plus importante des consommateurs, face à une opacité de plus en plus importante des entreprises.
Vous croyez réellement qu'ils ne vont rien faire de ces données ? Facebook serait donc une entreprise philanthropique ou un projet d'ex étudiants en informatique?
yeah right... Facebook, c'est des millions de dollard de chiffre d'affaire en pub ciblée. Et sa valeur réelle: une base de données mondiale de centre d'intérêts, avec informations de contact siouplé : la demande est gigantesque car l'échelle est planétaire.
Alors la prochaine fois que vous allez sur facebook, posez-vous la question: pour qui travaillez-vous à cet instant? Pour vous, ou pour Facebook?
Info relayée dans la revue des blogs du http://www.lepolitiqueshow.be.
Facebook pose tout de même un autre problème : l'obligation de s'inscrire pour la consultation du moindre profil... D'une certaine manière, l'essayer, c'est l'adopter. A prendre ou a laisser! Et c'est dommage pour réseau de socialisation qui se veut "ouvert" de fonctionner en vase clos. Personnellement, je n'entend pas m'inscrire pour une simple consultation!
je suis sur facebook, et Fabrice, j'ai vu que vous y etes aussi.... (je vous ai d'ailleurs envoye un "friend request"...).
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