Le coup est parti des couloirs du parlement. Personnellement il résonne sur mon bureau par l’intermédiaire d’un coup de téléphone peu avant 10 heures. Des parlementaires croient avoir entendu que l’ancien premier ministre Wilfried Martens est décédé. Branle bas de combat, pour tenter de confirmer l’info à bonne source. Quelques coup de fil plus tard et devant l’air ébahi de mes interlocuteurs, retour à la case départ : l’info n’en est pas une, la rumeur n’a rien de fondé.
Point final ? Ce serait trop simple. A midi 45, la rumeur repart de plus belle. Un téléspectateur a cru bon de prévenir RTL du décès de Martens par sms au 4343. Un quart d’heure avant le journal de 13 heures, nouvelle série de coup de téléphone pour revérifier. C’est qu’en un peu moins de 3 heures, les informations de mes sources ont le temps d’évoluer. Re-démenti. En milieu d’après midi Wilfried Martens, alerté, fait même savoir qu’il va bien. Mieux même, il a fait du vélo dans la matinée.
Pourquoi écrire tout cela, puisque ce n’était qu’une rumeur parmi tant d’autres ? Juste pour vous montrer que le désir d’être le premier sur une info, ne doit jamais empêcher de la recouper. Et qu’on ne perd jamais sont temps à prendre quelques précautions.
Point final ? Ce serait trop simple. A midi 45, la rumeur repart de plus belle. Un téléspectateur a cru bon de prévenir RTL du décès de Martens par sms au 4343. Un quart d’heure avant le journal de 13 heures, nouvelle série de coup de téléphone pour revérifier. C’est qu’en un peu moins de 3 heures, les informations de mes sources ont le temps d’évoluer. Re-démenti. En milieu d’après midi Wilfried Martens, alerté, fait même savoir qu’il va bien. Mieux même, il a fait du vélo dans la matinée.
Pourquoi écrire tout cela, puisque ce n’était qu’une rumeur parmi tant d’autres ? Juste pour vous montrer que le désir d’être le premier sur une info, ne doit jamais empêcher de la recouper. Et qu’on ne perd jamais sont temps à prendre quelques précautions.
1 commentaire:
J'espère que vous prendrez cela comme une bonne leçon de journalisme (et d'historiographie) basique... Bien à vous.
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